Petite crique bien abritée de la houle et des regards. Sur la plage, nous découvrons une sorte de communauté : plein de petites tentes où hommes et femmes sont tous nus. Comme il est déjà tard, nous ne rentrons pas en contact avec ces autochtones. Nous sommes 4 voiliers dont un équipage ibérique qui chante du Hugues Auffray espagnol toute la nuit, Eric n'a pas pu se joindre à eux, il ne maitrise pas encore suffisament la langue. On a bien cru, à un moment, qu'il allumait un fuego del campo dans le cokpit.
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